Les enjeux de la lutte contre les maladies cryptogamiques en viticulture
Les maladies cryptogamiques telles que le mildiou, l'oïdium et le botrytis représentent des menaces majeures pour la culture de la vigne. D'autres pathologies comme l'Esca, qui attaque directement le bois, posent également de sérieux problèmes.
Aujourd'hui, les viticulteurs font souvent appel à :
- Fongicides de synthèse : efficaces mais de plus en plus limités par les cahiers des charges et les attentes sociétales
- Sulfate ou hydroxyde de cuivre : des produits couramment utilisés, notamment en agriculture biologique (AB), mais dont l'usage excessif nuit à la vie des sols et perd en efficacité
Ces pratiques intensives, bien qu'historiquement efficaces, doivent évoluer pour répondre aux nouvelles attentes :
- Réduction des indices de fréquence de traitement (IFT)
- Protection de la biodiversité des sols
- Alignement avec les réglementations et les certifications environnementales
Les PNPP : une alternative efficace aux traitements chimiques en viticulture
Nos années d’expérience dans la distribution de PNPP montrent qu’il est possible de réduire considérablement les IFT en cuivre et fongicides grâce à ces solutions naturelles.
Au fur et à mesure que le viticulteur prend confiance avec des préparations, le nombre de traitement en cuivre ou fongicide peut en effet être réduit voire à terme supprimé par une application d’une synergie de PNPP spécialement formulée pour l’effet fongicide comme le Foliaplex.
Exemple :
- Utilisez Foliaplex en traitement préventif à 5 L/ha pour 100 L de bouillie ou en curatif à 10 L/ha avec l’ajout d’Adjuthine, qui améliore l’adhérence sur les feuilles
- Associez ces applications au Chitoprotect végétal, un produit homologué qui stimule les défenses immunitaires et renforce le bois de la vigne
- En cas de risque d'oïdium, diminuez l'application de soufre grâce à l'efficacité préventive du Foliaplex
Optimisation des traitements en viticulture grâce à l’ouverture des stomates
Les applications de PNPP et substances de base sont réalisées comme pour un traitement classique en profitant au maximum de l’ouverture des stomates de la plante et de températures idéalement comprises entre 10 et 12 °C. En vigne, les passages de PNPP sont réalisés tous les 7 à 14j, au même rythme qu’on le ferait avec un fongicide classique.
« Assez vite, les viticulteurs constatent qu’ils peuvent réduire les produits de synthèse systémiques ou à base de cuivre », constate l’un de nos conseillers.
Un viticulteur du sud a sauvé 13 hectares de vignes du mildiou grâce à une substitution totale du cuivre par des applications de Foliaplex. Résultat ?
- Une meilleure qualité des raisins
- Une fermentation plus stable en cuve, le cuivre n'entravant plus l’activité des levures
Gestion de l'Esca et des ravageurs en viticulture
Pour lutter contre l’Esca de la vigne, nous recommandons :
- Salixo au débourrement : 5 L/ha
- Chitoprotect végétal au stade 2/3 feuilles : 1 L/ha pour 100 L de bouillie
- Applications ultérieures de Foliaplex, pour ses propriétés fongicides et son rôle stimulant des défenses naturelles
Concernant les ravageurs tels que les tordeuses, cicadelles, cochylis, ou encore la flavescence dorée, nous préconisons une synergie d’effets :
- Entomix à 10 L/ha, renforcé par du Blacksoap à 2 L/ha pour une efficacité insecticide et insectifuge optimale
Adoptez un programme de réduction des IFT en vigne
Les avantages d’une réduction des IFT :
- Moins d’impact sur la vie des sols
- Réduction des résidus chimiques sur les raisins
- Amélioration de la qualité des vins grâce à une fermentation sans interférences
Vous souhaitez intégrer des PNPP à votre stratégie viticole ? Contactez nos spécialistes viticulture dès aujourd’hui au 06 33 45 78 53 pour un accompagnement personnalisé.